Avec
l’arrivée du coronavirus et le confinement, le télétravail s’est imposé.
Quelle
aubaine pour certains, on va pouvoir travailler plus relax, en pyjama, jogging,
fini les embouteillages ! En fait, à part un appel du patron de temps en temps,
on peut couper le téléphone et répondre quand on le choisit.
Pour
ceux qui n’ont pas cette latitude et qui doivent répondre à tout moment, ils
sont en prise avec le cauchemar des enfants qui braillent en pleine conférence
vidéo, car en fait, les conférences virtuelles ne peuvent apporter le même
résultat qu’une réunion physique.
La
désillusion sera grande pour ceux qui croyaient que cette situation serait
éternelle et qui ont cru acheter des maisons dans les campagnes, les éloignant
du siège social de plusieurs heures et amplifié l’hiver.
Malgré
les déductions fiscales, ils perdront leurs gains et avantages supposés à la
revente de leur habitation secondaire de travail qui était devenu leur maison
principale.
Car,
au nom de l‘efficacité, le rappel au siège social est inévitable, ce qui ne
veut pas dire que le télétravail sera banni, car il est évident que pour
certaines taches des employés de base le télétravail est un progrès.
Il
n’en est pas de même pour les cadres ou les dirigeants qui doivent tenir leur
poste et driver le tout.
Les
entreprises doivent s’organiser à vivre avec le Covid-19 en réorganisant les
espaces de travail plus éloignés, en les désinfectant régulièrement et en
multipliant les plexiglas entre les bureaux.
Bien
sûr, le port du masque sera obligatoire et le gel hydroalcoolique toujours à
portée de main.
C’est
la nouvelle vie que nous a apporté le virus chinois.