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Kim Jong-un joue avec la mort



Les bravades répétées du président nord-coréen n’ont pas vraiment de sens, car on ne voit pas bien l’aboutissement de ses provocations nucléaires.

La Chine, son allié de toujours, commence à être vraiment insupportée par l’attitude du ‘’monarque’’ communiste, car celle-ci n’a bien entendu pas envie d’avoir la Corée du Sud, dont l’allié est l’Amérique, à ses portes.

La Chine ne cesse d’appeler Kim Jong-un à la raison, mais le despote enfantin reste irraisonnable et capricieux, les Chinois rêvent désormais de le remplacer par un dirigeant plus conventionnel.

De leur côté, les Sud-Coréens et les Japonais, menacés par des engins qui passent au-dessus de leur tête, ne pourront pas longtemps accepter ce cynisme et ce danger.

Les Américains, insultés, par cette monarchie communiste ne pourront pas, ainsi que la communauté internationale, perdre du temps et subir des menaces nucléaires quotidiennement.

Le sort de Kim Jong-un en est jeté.

Il sera sûrement liquidé, soit par ses alliés qui n’arrivent pas à le raisonner, soit par la puissance américaine qui finira par obtenir l’autorisation mondiale de l’écraser comme une mouche.

En attendant, le trouble règne.

Donald J. Trump n'est pas russe



Il est extravagant de voir le procès d'intention que certains opposants à Donald J. Trump fomentent à son encontre, relayé par une presse hostile et malveillante à tous ses gestes.

Qui peut croire sincèrement que DT n'est pas un bon patriote ? Il n'y a pas plus Américain que lui. Après avoir été un modèle mondial dans le monde des affaires, il a fait briller son talent de businessman américain dans tous les cercles d'affaires, et est devenu Président de son pays pour lequel il ne cesse de vouloir le meilleur.

Depuis son arrivée, la bourse a gagné près de 20 %, 1 million de plus d'emplois ont été créé, qui dit mieux ?

Ces partisans objectent la jalousie politique de ses adversaires : «La raison pour laquelle les démocrates ne parlent que de cette histoire russe totalement inventée est qu'ils n'ont pas de message, pas de vision.»

«Nos relations avec la Russie sont à un plus bas historique et très dangereux», a «tweeté»  Donald Trump.

Ces détracteurs n'hésitent pas à mettre en danger les États unis uniquement pour salir Donald Trump.

Cette presse qui s'acharne contre la droite



Donald J.Trump est la cible de tous les journalistes issus d'une presse d'intérêt de gauche molle, tous ses faits et gestes sont systématiquement détournés, déformés, amplifiés faisant passer le 45e Président des États-Unis pour un ogre imprévisible.

Pourtant les observateurs politiques ont bien compris que Donald J.Trump déroule son programme comme il l’avait annoncé pendant sa brillante campagne électorale et que rien ne l'en détournera, même pas quelques juges.

Il est entouré de ministres et conseillers émérites que cette presse trouve trop riches, comme s’il fallait être un citoyen ordinaire pour pouvoir faire de la politique.
Il y a là une ségrégation insupportable qui a été imposée par les apôtres de l’égalitarisme aux populations bannissant sournoisement les talents.

La mondialisation n'a pas tenu ses promesses, car elle laisse sur le bord du chemin bon nombre de personnes creusant le chômage dans trop de pays.

Personne n'est pour le protectionnisme, mais chacun voudrait avantager tout d’abord son pays tout en ajustant les intérêts bilatéraux des autres pays et des nations, c’est la tendance générale qui s’impose.
En France, la façon dont la presse a eu raison de Nicolas Sarkozy a été sans précédent.
Elle a privé le pays de ce talent immense qui aurait été utile à la Nation et laisse la France ruinée par ce pouvoir socialise dont les militants ont choisi le dévastateur François Hollande devenu Président.
Alors que François Fillon, ex-Premier ministre du Président Nicolas Sarkozy pouvait prendre la relève, il subit le même sort que son ancien patron affaiblissant la droite républicaine.

C'est sans parler du Front National qui est traîné dans la boue à tous moments et depuis des années.
Marine Le Pen est mise de côté, minimisée par la presse écrite ou audiovisuelle sur les sujets réellement politiques cependant, on peut observer que la pression populaire l’aide à se hisser au devant de la scène.

Seuls les personnages aux idées généreuses avec l'argent des autres ont la faveur des grands titres, qui les font apparaître comme des gars sympas.

La presse est tolérante et disposée à mettre en avant des personnages politiques, artistes de gauche et même du centre, à condition qu'ils finissent, à l'image du centriste François Bayrou, par voter à gauche.