Donald J.Trump est la cible de tous les journalistes issus d'une presse d'intérêt de gauche molle, tous ses faits et gestes sont systématiquement détournés, déformés, amplifiés faisant passer le 45e Président des États-Unis pour un ogre imprévisible.
Pourtant les observateurs politiques ont bien compris que Donald J.Trump déroule son programme comme il l’avait annoncé pendant sa brillante campagne électorale et que rien ne l'en détournera, même pas quelques juges.
Il est entouré de ministres et conseillers émérites que cette presse trouve trop riches, comme s’il fallait être un citoyen ordinaire pour pouvoir faire de la politique.
Il y a là une ségrégation insupportable qui a été imposée par les apôtres de l’égalitarisme aux populations bannissant sournoisement les talents.
La mondialisation n'a pas tenu ses promesses, car elle laisse sur le bord du chemin bon nombre de personnes creusant le chômage dans trop de pays.
Personne n'est pour le protectionnisme, mais chacun voudrait avantager tout d’abord son pays tout en ajustant les intérêts bilatéraux des autres pays et des nations, c’est la tendance générale qui s’impose.
En France, la façon dont la presse a eu raison de Nicolas Sarkozy a été sans précédent.
Elle a privé le pays de ce talent immense qui aurait été utile à la Nation et laisse la France ruinée par ce pouvoir socialise dont les militants ont choisi le dévastateur François Hollande devenu Président.
Alors que François Fillon, ex-Premier ministre du Président Nicolas Sarkozy pouvait prendre la relève, il subit le même sort que son ancien patron affaiblissant la droite républicaine.
C'est sans parler du Front National qui est traîné dans la boue à tous moments et depuis des années.
Marine Le Pen est mise de côté, minimisée par la presse écrite ou audiovisuelle sur les sujets réellement politiques cependant, on peut observer que la pression populaire l’aide à se hisser au devant de la scène.
Seuls les personnages aux idées généreuses avec l'argent des autres ont la faveur des grands titres, qui les font apparaître comme des gars sympas.
La presse est tolérante et disposée à mettre en avant des personnages politiques, artistes de gauche et même du centre, à condition qu'ils finissent, à l'image du centriste François Bayrou, par voter à gauche.